Le guide du Tablier # 2 : le chocolat Valrhona, j’achète ou je n’achète pas ?

Premier mercredi du mois rime dorénavant avec le guide du Tablier. Pour ceux qui n’auraient pas suivi le premier épisode de cette nouvelle série d’articles, le principe est simple. Le premier mercredi de chaque mois, je vous parle de consommation, le tout étant forcément en lien (plus ou moins direct) avec la cuisine ou la pâtisserie. Bien sûr, la franchise est de mise !
Aujourd’hui, je vais vous parler des chocolats Valrhona. J’ai longtemps hésité avant de les acheter et, comme souvent dans mes moments d’égarement, j’ai jeté un œil aux Internets pour trouver des avis/opinions sur le sujet. N’en ayant pas trouvé, j’ai dû me jeter à l’eau et passer commande. Maintenant, je fais le bilan avec vous !


Le pourquoi du comment…

Valrhona, c’est un peu un mythe pour les pâtissiers (amateurs ou non). Tout le monde s’accorde sur la qualité et la singularité de leurs chocolats. Si vous suivez un peu les émissions culinaires ou de reportage, vous en avez certainement déjà entendu parler, au moins de nom. Si non, ça sera chose faite dans 1h (le temps de lire mon article).
Je n’ai pas échappé au souffle Valrhona et aux blogueuses qui en vantent les mérites, notamment Valérie et Aliénor. Très sincèrement, j’étais un peu dubitatif sur le rapport qualité/prix. Il y a presque un an, j’avais failli me laisser tenter mais après avoir demandé un avis, on m’avait répondu que le jeu n’en valait pas la chandelle. Victoire ! Je le savais, je continuerai à pâtisser avec du chocolat “normal”.
Le destin étant ce qu’il est, Eléonore m’a à nouveau tenté avec ses pains au lait au Caramélia. En plus, les Galeries Lafayette faisaient une super promotion. Je ne pouvais pas résister plus longtemps.
J’ai donc acheté, j’ai goûté et j’ai jugé (ce n’est que mon avis hein, cet article n’a pas vocation à énoncer une vérité absolue, quoi que).

Valrhona, l’excellence française du chocolat depuis 1922

Valrhona, c’est LE chocolat que tous les pâtissiers de renom utilisent et ce n’est pas vraiment un hasard (peut-être que le pâtissier du coin de votre rue pâtisse avec du Valrhona aussi, mamie m’a confié que mon arrière-grand-père utilisait déjà du Valrhona).
Plus généralement, Valrhona c’est l’histoire d’une expansion continue. Créée dès 1922, cette chocolaterie ne deviendra Valrhona qu’après la deuxième guerre mondiale. Pour faire simple, Valrhona a construit tout un univers autour du chocolat (une Encyclopédie, une cité du Chocolat, une Ecole…). Bref, Valrhona c’est la planète chocolat et tout ça, ça se passe à Tain-l’Hermitage dans la Drôme, pour être précis (et faire simple).
Enfin, ce qui n’est pas pour me déplaire Valrhona, c’est du “Made in France” (cocorico, encore un symbole de l’excellence française) et (un peu) de commerce équitable et de développement durable. J’aime le principe de j’applaudis la démarche !

Et si on comparait, pour voir ?

A la dégustation… Forcément, quand j’ai reçu ma commande, on a commencé par déguster le chocolat tel quel. Si on ne sent pas de différence de cette manière, ce n’est même pas la peine d’aller plus loin.
Du chocolat blanc… En temps normal, le chocolat blanc, ce n’est pas notre tasse de thé à la maison (sauf dans certaines préparations, genre la ganache montée à la pistache) : trop gras et trop sucré. J’étais parti sur l’idée de ne commander que du Dulcey (LE chocolat Valrhona par excellence) mais Eléonore m’a convaincu d’aussi acheter du Caramélia. Comment vous dire ? Ces deux chocolats ont autant en commun avec du chocolat X que Jean-Jacques Rousseau et Nabila : deux mondes parallèles qui ne se croiseront jamais. Le Dulcey et le Caramelia sont fins et ont une saveur propre (alors que, normalement, du chocolat blanc ça n’a pas vraiment un arôme bien défini, si ce n’est celui du sucre). D’ailleurs, avantage au Caramélia : tout le monde l’a adoré, l’a dévoré et en a redemandé.
Du chocolat noir… Pour l’occasion, j’avais sous la main un comité d’experts élargi (papy et mamie étant présents et, accessoirement, amateurs de chocolat noir). J’avais jeté mon dévolu sur le Caraïbe et le Guanaja. Le chocolat noir, c’est mon dada (je suis amateur, non connaisseur). La qualité du Caraïbe et du Guanaja a fait l’unanimité. Il n’y a pas photo, sur le chocolat noir, Valrhona est bien au-dessus de la concurrence : beaucoup plus de goût et moins d’amertume (enfin, c’est bizarre car on sent que ces chocolats sont amers mais ça n’est pas gênant. Ce que je dis est assez incompréhensible et, d’ailleurs, je ne suis pas sûr qu’il y ait un intérêt à essayer de comprendre :-)).
Du chocolat au lait… Le célèbre Jivara, of course ! Je ne raffole pas du chocolat au lait, en général. Par rapport à ce que je connais du chocolat au lait, le Jivara est un peu plus fin et savoureux (et moins sucré). Pour vous donner une idée, entre le Jivara et le chocolat X, je verrais la même différence qu’entre un chocolat à déguster et un chocolat à pâtisser. Ce n’est pas la même chose mais on se rapproche.
Dans la cuisine… Que le chocolat soit délicieux à la dégustation est une chose. En revanche, qu’on sente la différence dans un dessert, c’en était une autre. Or, si je voulais tester le chocolat Valrhona, c’était avant tout pour pâtisser avec. Mon dévouement (et celui de mon comité d’experts) étant sans limite (c’est souvent le cas quand on parle bouffe, vous avez remarqué aussi ?), on a testé les coulants de Christophe Felder : pour une moitié, ils étaient réalisés avec du Valrhona ; pour l’autre, ils étaient confectionnés avec du chocolat de grande surface.
En faisant mes fondants, j’ai pu m’apercevoir que le Valrhona fondait mieux et avait un rendu beaucoup plus sirupeux et lisse. Les deux doivent être liés : le chocolat X fondant moins bien, le résultat obtenu est plus pâteux et moins lisse. Idem au niveau de la couleur. Une fois les fondants terminés, ceux au Valrhona avaient une belle couleur marron foncé quand ceux au chocolat X tiraient plus sur le marron-rouge (vous savez, parfois, quand on photographie des préparations au chocolat, en fonction de la lumière, on a tendance à obtenir quelque chose d’un peu rouge, comme ici). Une fois que je vous ai dit ça, je ne vous ai pas dit grand chose car 1/ si les différences que j’indique sont visibles, elles ne sont pas monstrueuses non plus ; 2/ si la texture/couleur avant cuisson varie, le résultat pourrait être assez similaire.
Après cuisson, le visuel n’était pas du tout le même non plus : beaucoup plus lisse et homogène pour les fondants au Valrhona. Ça n’est pas très important non plus, encore que, selon les occasions, la présentation peut être primordiale ! Entrons maintenant dans le vif du sujet : un fondant Valrhona et un fondant au chocolat X pour chaque membre du comité d’expert. Bien sûr, ils ont testé à l’aveugle. Dans 100% des cas, c’est Valrhona qui est sorti vainqueur. Ceci dit, chaque personne (en fonction de ses goûts et de son palais ?) préférait le Valrhona pour une raison différente : moins d’amertume, un meilleur équilibre des différentes saveurs (un goût de chocolat ET de beurre)… Pour ma part, j’ai trouvé qu’on sentait plus la saveur du chocolat à proprement parler et que la texture n’avait rien à voir. Souvent, le tour qui est cuit est un peu sec et le cœur coulant est un peu “épais”. Avec du Valrhona, j’ai obtenu un contour plus humide (donc plus fondant et agréable) et un cœur plus liquide (donc vraiment coulant, comme sur les photos de chefs).
Bref, dans tous les cas, Valrhona met KO le chocolat X!

Pour conclure, mon avis…

Bien sûr, les chocolats Valrhona sont chers. Bien sûr, il est “compliqué” de se procurer du chocolat Valrhona lorsqu’on n’habite pas une grande ville, a fortiori pour les réfractaires aux achats sur internet A ces deux défauts principaux, je répondrai que du Valrhona, ça se mérite.
Pour manger simplement, Valrhona est une référence sûre et incontestable : il y a une vraie différence (et des saveurs de chocolat que vous ne trouverez nulle part ailleurs : le Dulcey, le Caramélia…). Toutefois, la première fois que j’ai goûté du Valrhona, j’ai été un poil déçu car je m’attendais à je ne sais pas trop quoi, genre un truc comme le feu d’artifice de la Tour Eiffel le 14 juillet, mais dans ma bouche. Or, rien de tout ça car même s’il est excellent, le chocolat Valrhona reste du chocolat (en plus, j’ai commencé par le Jivara qui, au final, est celui qui m’a le moins transporté. Si j’avais débuté avec du Caraïbe, ma réaction aurait certainement été bien différente). Enfin, Valrhona prend toute son ampleur lorsqu’on le “met en concurrence” avec un chocolat X.
Pour pâtisser, Valrhona est aussi une valeur sûre. J’ai voulu tester avec un gâteau où l’on sent vraiment le chocolat et le résultat n’était pas du tout le même. Après, je n’ai pas testé tous les chocolats, pas plus que je n’ai testé 50 recettes différentes (j’ai très hâte de voir ce que ça donne sans cuisson avec une mousse et aussi avec du Dulcey… certainement des articles à venir). Par conséquent, tout cela reste éminemment subjectif.
Je pense que, comme moi, ce qui freine la plupart des gens à sauter le pas Valrhona, c’est le prix. Du coup, je voudrais préciser qu’on peut acheter du Valrhona, sans pour autant l’utiliser pour tout. Si vous pouvez vous en procurer facilement et que votre bourse en supporte le prix, n’hésitez pas une seconde : faites de la place dans vos placards et achetez Valrhona. En revanche, si vos moyens sont plus limités, vous pouvez cantonner son utilisation à des desserts où on sent vraiment le goût du chocolat (un fondant, une mousse…) car, forcément, dans un gâteau mélangeant plusieurs saveurs (chocolat/framboise, chocolat/café…) le goût du chocolat sera moins présent et la différence moins flagrante entre un bon et un excellent chocolat. Enfin, si acheter du Valrhona représente vraiment un investissement/sacrifice pour vous, réservez-le pour les grandes occasions ou des plaisirs en petit comité.
Ceci étant dit, je pense qu’avec le chocolat, les choses sont un petit peu faussées. On part du principe que le chocolat est un produit très accessible et qu’on ne doit pas mettre plus de 1 ou 2€ pour une tablette. Or, pour d’autres desserts, ça ne nous dérange pas d’acheter des produits “coûteux” (les noix/noisettes/amandes/pistaches, le sirop d’érable, certains fruits frais sont assez chers, surtout lorsqu’il en faut une grande quantité). Par conséquent, il faut simplement qu’on “accepte” de mettre un peu plus cher pour avoir du chocolat de qualité. Et puis, le Valrhona est environ à 30€ le kilo. Certes, quand on dit ça, ça représente une somme. Toutefois, si on regarde une recette dans le détail, pour faire les fondants de Felder, il faut 100 g de chocolat, soit 3€. A vue de nez, ça représente 4 ou 5€ de matières premières pour 4 personnes. A peine plus d’1€ par personne, pour un dessert simple mais de qualité, ça reste accessible, non ? 🙂
Petite astuce, pour les personnes qui ne veulent/peuvent pas mettre 30€ pour un kilo de chocolat, je vous conseille d’attendre les ventes privées Valrhona ou les promotions (on peut aller jusqu’à à -50%). Personnellement, mes premiers chocolats Valrhona, je les ai commandés sur les Galeries Lafayette. D’une part, j’ai économisé 40% sur le prix de vente (ce qui n’est pas rien) et, d’autre part, grâce à Igraal j’ai ajouté 4,5% du montant de ma commande à ma cagnotte virtuelle. Au final, j’ai donc presque économisé 50%. Par ailleurs, je vous conseille de jeter votre dévolu sur du chocolat noir ou des chocolats blancs qui ont une saveur propre (type Dulcey ou Caramelia). Si le Jivara est bon, c’est celui qui m’a un peu “déçu” (plus précisément, je suis moins vindicatif sur le fait que le jeu en vaille la chandelle le concernant). Pour me faire mon opinion, j’avais opté pour l’achat de petites quantités (les tablettes de 70g) mais j’avais varié les “parfums” (Dulcey, Opalys, Guanaja…).
Vous avez déjà testé les chocolats Valrhona ? Qu’est-ce que vous en avez pensé ? Vous aimeriez essayer (peut-être même vous ai-je convaincu :-)) ? Allez, dites-moi tout sur Valrhona et, plus globalement, votre relation (oui, oui, pour moi, on peut parler de relation) avec le chocolat !
NB 1 : ceci n’est pas un article sponsorisé. D’ailleurs, pour être tout à fait exhaustif (et franc, puisque c’est le principe de ces articles), il y a quelques semaines j’avais contacté Valrhona afin de vous faire gagner des échantillons de leurs produits. Le service client m’a très vite et aimablement répondu. En revanche, je ne peux pas en dire autant du service presse puisque j’attends toujours la réponse. En les contactant, je ne me faisais guère d’illusion mais un petit mail pour me faire part de leur refus aurait été sympa (pour autant, je continuerai à acheter leurs chocolats, au regard de leur qualité). 
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10 commentaires sur “Le guide du Tablier # 2 : le chocolat Valrhona, j’achète ou je n’achète pas ?

  1. Très intéressant ton article ! J'ai plusieurs failli moi aussi succomber…. mais mon porte-monnaie n'était pas vraiment de cet avis…. Après, comme tu le dis, quand tu vois le prix de certains fruits secs (genre les pignons de pin….), je pleure aussi !!!!

  2. Coucou, déjà je tiens à te féliciter pour cet article très pertinent et très bien rédigé =)

    Tout comme toi et beaucoup d'autres j'imagine, avant j'utilisais du chocolat X de grande surface : car il était facile de s'en procurer… un tour au rayon du chocolat et "hop" dans le caddy, c'est rapide, facile…

    Le jour où j'ai eu besoin de chocolat à 70% de cacao, mon compagnon a fait un grand bond dans le magasin en voyant le prix au kilo du chocolat X en grande surface… et m'a tout de suite invité à jeter un œil au "vrai" chocolat ! Parce que payer autant pour un produit bas de gamme… ça nous a un peu calmé !

    Etant belge, je me suis d'abord renseignée sur de bonnes adresses en Belgique… mais je n'ai malheureusement pas trouvé mon bonheur (peut-être que ça existe, mais tous les magasins trouvés ne vendaient qu'aux professionnels, pas aux particuliers !)

    Du coup en surfant sur différents sites qui vendent ustensiles et produits pâtissiers : je suis tombée sur les produits de chez Barry que j'ai voulu essayer ! J'ai donc testé un chocolat noir à 70%, le chocolat blanc "Zéphyr" à 34% et un chocolat au lait à 35%.

    J'avais aussi très envie de tester le Valrhona mais j'avais toujours été calmée par le prix… jusqu'au jour où j'ai découvert que Vente privée en vendait parfois -> et à moitié prix (soit, cela revenait au même prix que ce je payais pour le Barry !)

    Forcément j'ai voulu essayer, vu l'émoi que ce chocolat provoque chez tout ceux qui l'ont goûté ! J'ai donc essayé le Guanaja et l'Ivoire, et là dernièrement j'ai acheté le Caramélia (mais lui je ne l'ai pas encore ouvert donc pas encore testé !)

    Ma conclusion, c'est clair et net que ça n'a strictement rien à voir avec celui du commerce ! On est à des années lumières… tant au niveau du goût, que de la texture obtenue lors des glaçages, des ganaches,… et j'en passe !

    D'ailleurs c'est simple : je n'achète plus du tout le chocolat de grande surface !

    Maintenant, très sincèrement, après avoir testé les deux types de produits : le Barry et le Valrhona…. je ne suis pas tout à fait d'accord avec les gens qui disent que même si le Barry est très bon… le Valrhona est encore plus fabuleux au niveau du goût !

    Mon compagnon et moi-même avons testé les différents produits des deux marques et sincèrement nous avons trouvé que tout était super bon ! Le Zéphyr et l'Ivoire sont extraordinaires l'un comme l'autre : car très peu sucrés et pas trop gras !

    Le Guanaja et le Ocoa sont des chocolats noirs de caractère qui laissent un goût légèrement fruités en fin de dégustation et qui se valent tous les deux !

    Donc maintenant ce que je fais, c'est que quand je vois sur VP une vente Valrhona : je n'hésite pas (d'autant plus qu'il y a des produits qu'on ne retrouve pas chez Barry, comme le Caramélia ou le Dulcey !)

    Ma conclusion est donc la suivante : je n'achèterais pas le Valrhona à 35 euros du kilo… (aussi bon soit-il) car je trouve qu'il ne vaut pas le double du prix du chocolat Barry ! Et j'ai l'impression que son utilisation par des grands pâtissiers et par des amateurs ou professionnels dans des émissions télévisées lui donne beaucoup d'importance d'où cette effervescence autour de la marque et de ses prix relativement élevés !

    Mais une chose est certaine, le chocolat de grande surface est clairement très très en-dessous de Valrhona ! Et je ne pourrais plus jamais manger le chocolat blanc de marque X…

  3. HEllo ! tout d’abord très bonne année
    Merci pour ce bel article sur ce chocolat que j’aime vraiment pour ses qualités nombreuses ! Depuis qu’on le trouve en vente privée et dans les grands magasins il n’est plus si confidentiel et j’apprécie les prix “réduits” des ventes privées qui me permettent de faire des stocks. Du coup, le rapport qualité prix par rapport au super marché est pour moi super.
    Il est aussi nettement moins sucré. On s’en est rendu compte en goûtant une mousse au chocolat faite pendant des vacances avec du chocolat classique de super marché et là, on a cru que j’avais tombé le pot de sucre dans la préparation !! Bon voilà, je l’aime quoi !!
    merci encore pour le petit clin d’oeil.
    PS : c’est éléonore au lieu d’aliénor mais c’est joli aussi !!

  4. Bonjour,
    J’utilise les chocolats Barry et Valrhona depuis plusieurs années. J’aimais particulièrement le Dulcey de Valrhona que je dégustais nature, en collation et… sans modération. J’ai découvert récemment le Zéphyr Caramel de Barry. Un peu différent du Dulcey mais tout aussi bon. Et moins cher. J’aime bien le Guanaja de Valrhona, mais j’adore le Sao Thomé de Barry qui se présente en petites pépites plutôt qu’en grosses pistoles. Pour les biscuits au “chocolat chips” c’est parfait. J’ai utilisé le Caramélia… pas mon préféré. Et pour ceux qui apprécient moins le chocolat noir, le Alunga de Barry (41 %) est excellent. Que ce soit pour cuisiner des gâteaux, des biscuits, des mousses ou pour le moulage, ces chocolats sont de beaucoup supérieurs à ceux qu’on retrouve en supermarché.

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